Matt E. Adams » Call-me Lucky.

Invité

Matt Elliot Adams
featuring Ash Stymest

© wandering.soul
HELLO HONEY, WHO ARE YOU?

nom(s); Adams
prénom(s); Matt Elliot
âge & date de naissance; 20 ans - 13 Mai 1990
lieu de naissance; Londres, Angleterre
groupe; Correspondent’s Boys
études; Etude de droit.

ne prenez pas la vie au sérieux, vous n'en sortirez pas vivant;

c'est un beau roman, c'est une belle histoire;
racontez-nous votre histoire en un minimum de 50 lignes. si vous êtes un scénario, vous pouvez toujours vous aider de la personne qui vous a créé.

Matt Elliot Adams, c’est moi, parfait garçon d’aujourd’hui vingt ans : âge parfait également sans doute. Je suis né un jour de printemps, merveilleuse saison d’allergie, de reproduction animale, de problème de couple et d’envie de plage ensoleillée, de chers parents riches et fous. Non pas qu’ils soient réellement fous, disons que je n’ai jamais compris leur but dans la vie, si ce n’est faire de moi une parfaite copie sans défaut d’eux-mêmes rassemblé en moi. Mais vivre pour toujours enrichir leur grand cabinet d’avocat, et faire un enfant pour qu’il reprenne avec la même envie, et avec un peu de chance, plus de talent, c’était assez déprimant. Je grandis donc, eu une très bonne éducation, je fis du basket, du solfège, du piano, du cheval, du chant, de la boxe thaï, j’appris à me comporter en parfait petit garçon face aux autres grands hommes. Non-officiellement, j’appris le plaisir de voir ceux qu’on tient par l’argent et le pouvoir, et qui se plie face à vous, les victoires nombreuses face aux juges, qui remplissait mon père d’un peu plus de fierté chaque jour. J’assistai à des entretiens, assit dans un coin du grand bureau, je dessinai en écoutant leur conversation, si peu importante à mes yeux, et j’étais l’objet devant lequel on s’extasiai poliment, dont on s’occupait respectueusement. Ah, ils avaient tous bien peur. C’est assez fou tout ça. N’empêche que j’ai compris plus vite la petitesse des gens. J’ai toujours préféré ceux qui n’ont rien mais ne se plient devant aucune lois ni face aux plus forts.

Quand j’entrais au collège tout s’accéléra. Peut-être un peu trop grande-gueule maintenant que je savais être grand. Face à mon père je filai doux, et j’appliquai ses bonnes manières apprises, je savais parler aux hommes plus ou moins importants qui venaient le voir, j’avais saisi tout ça. Mais le collège, c’était autre chose, ils étaient tous inférieur selon moi, et j’ai rapidement compris qu’il n’y avait qu’en l’ouvrant que je saurais m’imposer. Le respect qui m’était dû, dans mon esprit naïf, ils l’ignoraient tous, il fallait bien que je leur fasse ouvrir les yeux. Alors je bombais le torse, je provoquais, je me battais, j’insultais, je n’écoutais personne, tout le monde m’écoutait. La première fois que mon père fut convoqué chez le principal, je n’avais pas peur, et j’avais raison. Il déclara que ce n’était pas à lui de s’occuper des disfonctionnements de l’enseignement public obligatoire, que si cet établissement n’était pas capable de laisser un honnête homme travailler et gagner sa vie en s’occupant de son fils jusqu‘ici très bien élevé, il changerait celui-ci de collège, et ils pourraient faire une croix sur l’argent qu’il offrait pour les rénovations et primes annuels. On ne le convoqua plus jamais, et lui-même me déclara que si ils me posaient le moindre problème je n’aurais qu’à lui dire, mais que je n’avais aucune raison de m’abaisser à n’importe qui d’autre, tant que je gardais le respect parentale en priorité.

Un excès de liberté peut-être, s’était vachement grisant. J’ai toujours eu une gueule à fille, j’avais celles que je voulais, même si je les trouvais trop naïve, ou dénué de cerveau, je restais quelques temps avec les plus populaires, les plus convoités. Un nouveau terrain de jeu et de combat en quelque sorte. Ma virginité, dont l’espérance de vie ne me semblait pas longue de toute façon, avait vite prit fin. En fin de collège j’avais découvert les clopes, l’alcool, les fêtes, les nuits passés dans la rue, les filles, les conneries sous toutes ses formes pour faire court. Entre-temps j’ai changé le piano en guitare électrique, le chant en bousillage de gorge, et le basket en skate. Et je n’entends pas le petit : je vais de la maison au lycée en roulant tranquillement sur le passage piéton, merci. Ah oui ! J’adore les sensations fortes, si ça vous dit de vous joindre à moi.

Bref, ensuite il y a eu le lycée, incomparablement mieux que les années précédentes, où je devins propriétaire d’un énorme 4x4 rouge que j’adorais horriblement, où je me suis quelque peu tatoué les bras, et où j’ai commencé à arborer un écarteur à l’oreille, il ne fait que 15 mm, mais j’ai pas envie d’un truc moche non plus. J’ai également eu une petite amie mémorable d‘entre toutes, une histoire courant d’air merveilleuse, qui si je ne l’avais pas vécu, m’aurait donné envie de rire. Mais j’imagine que cette histoire n’intéresse personne ! Et puis quelques années après, voilà où j’en suis. C’est-à-dire quitter Londres et cesser les voyages impulsifs que j’ai pu faire, pour m’installer en Australie, entraîné par un voyage commun d’un site de relations. Qui vivra verra, j’espère qu’ils ne seront pas tous complètement différent de ce qu’ils paraissent !

you’ve got a friend t’en penses quoi ?
racontez-nous se que vous pensez du site You've Got a Friend en 3 lignes minimum.

Un phénomène comme un autre, que j’ai suivi par curiosité. Je trouvais ça pas mal comme idée pour regrouper ses amis et connaissances, et finalement j’ai pu connaitre le double de gens sur ce site, vachement intéressant quand t’en as marre de voir toujours les mêmes têtes. Je passe peu de temps dessus, les rares moments où je ne fais rien chez moi, mais ça me suffit, même si être accablé de conversations peut parfois saouler…
Ce voyage proposé, j’aurais bien pu le faire seul d’une autre façon, je peux bien partir où je veux quand je veux, mais maintenant que je suis dedans et avec les connaissances que j’ai, je suis partant pour voir leur face, maintenant qu’ils ne peuvent se cacher derrière un écran. Intéressant en perspective !

l’art des choses inutiles;

Plutôt Vodka ou Eau ? Vodka
Plutôt Cigarette ou Chewing-gum ? Cigarette. Entre nous c’est le grand amour.
Plutôt Coup d’un soir ou Relation stable ? Coup d’un soir, sinon il y a toujours quelque chose qui ne va pas, à quoi bon se prendre la tête !
Plutôt brun(e) ou blond(e) ? Blonde, même si les brunes sont parfois mieux.

Que penses-tu de l'injustice ? Il faut de l’injustice pour qu’existe la justice.
Que penses-tu de l'infidélité ? Si vous pensez ne pas tenir un engagement, faites comme moi et ne le prenez pas !

end is here. don't worry;

AFTER THE STUDENT, YOU.

© mischievous wink
prénom/pseudo; Dreamy
âge; 17 ans
sexe; I’m a girl B)
présence sur 7 jours; 5 jours sur 7
code; it's okay
avatar; Ash Stymest
autre chose ;